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 La commandante du Yôhei

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AuteurMessage
Kaori Tomoharu {PNJ}
Commandante du Yôhei
Commandante du Yôhei
Kaori Tomoharu {PNJ}


Messages : 3
Date d'inscription : 18/11/2010

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MessageSujet: La commandante du Yôhei   La commandante du Yôhei EmptyJeu 25 Nov - 17:57

(Le staff s'excuse, il ne s'est pas encore entendu sur la descriptions exactes des pouvoirs de ce personnage. Néanmoins, pour montrer aux membre du Yôhei qu'ils ne sont pas injustement oubliés, ces sales comploteurs, voici une partie de la présentation de votre chef! Le reste devrait arriver, nous l'espérons, dans le courant de la semaine. Bon après-midi!)

_________________________________________________________


Kaori Tomoharu
(cliquez pour voir l'image en grand)


Nom : Kaori
Prénom : Tomoharu
Âge : environ 400 ans
Sexe : féminin

Genre : shinigami
Rang : commandante du Yôhei

Description physique : Kaori a l'apparence d'une femme entre vingt-cinq et trente ans. Bien que ses traits soient agréables, elle ne fait aucun effort pour avoir l'air féminine. Avoir l'air jolie, soigner son apparence...? Très peu pour elle! Elle se considère avant tout comme un soldat, et de ce fait son apparence est relégué au second plan, bien qu'elle apprécie les beaux kimonos à l'occasion. La façon dont elle se coiffe témoigne également de cette volonté de ne pas respecter aux convenances : plusieurs mèches de longueurs inégales balayent son visage, tandis que le reste de ses cheveux est attaché derrière sa tête, à la façon des hommes d'Edo. Ses sourcils sont constamment froncés, si bien qu'on l'imagine tout le temps de mauvaise humeur ; la façon dont ses lèvres pleines restent serrées renforce cette impression. Pour marquer sa satisfaction, elle peut esquisser une sorte de rictus tordu, pas charmant pour deux sous, et qui lui donne plutôt l'air d'un prédateur sur le point de faire un bon repas. Autrement, Kaori a de grands yeux en amande, aux cils noirs et épais et dont la couleur des iris oscille entre noisette et vert. Sa peau est pâle ; on peut voir qu'une cicatrice barre sa joue droite, de sa pommette à l'os de sa mâchoire.

On ne verra jamais la commandante du Yôhei porter l'uniforme noir des shinigami. Elle a une préférence assez marquée pour le bleu : la plupart de ses vêtements se déclinent sur cette couleur. Ils sont pratiques avant d'être esthétiques, malgré quelques beaux motifs sur ses kimono de temps en temps. Kaori porte des hakama, noués à la taille par un ruban de soie plus sombre que les autres tissus, et auquel elle accroche le fourreau de son zanpakutô, lequel se trouve être en bois laqué de couleur bleu foncé ; étant gauchère, elle le porte sur le côté droit. Pour finir, elle chausse des tabi blanc et les sandales de paille tressée propres aux shinigami — elle a conservé cette partie de leur uniforme car elles s'avéraient plus pratiques pour se déplacer en combat.

Description psychologique : Kaori est ce que l'on peut appeler une meneuse d'homme. Ses ordres sont donnés d'une voix implacable qui ne laisse pas la place à la désobéissance : ou on s'exécute sur le champ, ou on morfle salement, car la commandante du Yôhei n'apprécie pas qu'on ignore ses directives. Les limites de sa patience sont assez rapidement atteintes, et bien qu'elle n'entre jamais dans de grandes colères, son énervement s'exprime par la violence, que celle-ci serve de mise en garde ou de punition directe. Kaori n'est pas du genre à crier ou à faire du bruit pour rien. Elle apparaît le plus souvent comme quelqu'un de posé, bien que l'expression sévère de son visage donne l'impression qu'elle est de mauvaise humeur. Bien qu'elle ait reçu une éducation stricte, elle n'a pour ainsi dire aucun respect des convenances, et rien ne l'agace plus que le rôle soit disant dévolu aux femmes dans certaines strates de la société. Elle affiche donc la plupart du temps des manières d'homme et s'exprime parfois comme un vrai charretier — sa grossièreté s'exprime surtout quand elle est en colère.

Kaori est une femme pleine de sang-froid, ce qui s'avère indispensable quand on est à la tête d'une troupe de mercenaires. La panique et l'urgence ne l'empêchent pas de garder les idées claires et de réagir intelligemment. Elle se révèle également être une assez bonne stratège et sait se servir au mieux des compétences de ses hommes. Elle ne considère pas qu'elle et ces derniers forment une famille, mais elle place une certaine confiance en eux et les respecte, quoique selon des degrés variables en fonction des individus. Elle ne se montre pas très chaleureuse avec eux, mais partager le quotidien de certains est déjà une grande marque de tolérance de sa part. Elle n'irait jamais élaborer un plan qui impliquerait le sacrifice de l'un d'entre eux ; en revanche, elle n'éprouve aucun remord à tuer un homme, qu'il appartienne ou non au Gôtei 13 : pour elle, la césure est définitive. Elle nourrit une profonde aversion pour les Armées de la Cour ; elle leur dissimule son sentiment, sachant que le peu de confiance qui leur est alloué disparaîtrait définitivement si on venait à la percer à jour ; et cela ne les servirait pas du tout...

En combat, Kaori est quelqu'un d'impitoyable, n'hésitant pas à employer tous les moyens nécessaires pour remporter la victoire. Beaucoup pourraient la qualifier de lâche, mais elle n'a que faire de l'opinion d'autrui : pour elle, se battre avec honneur est une marque de bêtise qui entrave l'efficacité d'un soldat, un réconfort pour ceux qui sont incapables de trouver un moyen de gagner. L'important pour elle est d'arriver à ses fins : elle incite donc ses hommes à procéder lâchement si cela s'avère nécessaire. Cela ne l'empêche toutefois pas de se comporter en vrai bourrin, à l'occasion.
Pour finir, il faut préciser un détail et pas des moindres : Kaori aime le chocolat. Elle en transporte toujours sur elle, soit disant pour "récupérer plus rapidement ses forces", ce qui serait effectivement une bonne justification si elle n'en mangeait pas même les jours où elle ne porte pas son zanpakutô...

Description de l'arme au repos : il s'agit d'un katana dont la poignée est entourée d'un tissu bleu. Sa garde est en forme de demi-cercle aux coins étirés vers l'extérieur ; les motifs gravés dans le métal la font ressembler à un chrysanthème stylisé.

Description des pouvoirs : [en construction]

Histoire :

Kaori est née dans la famille du même nom, et qui faisait partie de la petite noblesse du Seireitei. Son avenir était tout tracé : elle allait recevoir une éducation exemplaire et, une fois adulte, épouserait l'homme d'un autre clan, plus prestigieux que le sien de préférence ; ses parents avaient tenté des démarches auprès de la haute noblesse et ne paraissaient pas près de lâcher le morceau. Malheureusement pour eux, même très jeune leur fille manifesta de l'hostilité pour leurs beaux projets, préférant de loin se battre contre les enfants des domestiques plutôt que de suivre sagement ses leçons d'arrangement floral. Elle devint de plus en plus difficile en grandissant, à tel point que sa famille ne put l'empêcher de s'inscrire à l'Académie militaire, au grand désespoir de ses parents. Au cours de son apprentissage de shinigami, Kaori révéla une bonne maîtrise du kidô, ainsi qu'un certain acharnement lors des entraînements de kendo imposés aux étudiants. Au terme de six années d'études, elle obtint son diplôme et intégra l'une des treize divisions de la Cour. Elle avait alors près de quarante ans, mais n'en paraissait guère plus de quinze.

Sa vie au Seireitei dura encore une trentaine d'années. Kaori n'était pas très bien vue de ses compagnons d'arme, qui lui reprochaient sa mauvaise humeur constante et son asociabilité : créer des liens avec les autres lui importait peu, de plus il lui arrivait de se montrer réfractaire face à l'autorité : elle détourna plus d'une fois les directives de ses supérieurs pour exécuter une mission comme elle l'entendait. Elle était incapable de rester à sa place, allant jusqu'à donner des ordres à des shinigami plus gradés qu'elle.

Plus personne aujourd'hui ne se souvient des circonstances, mais un jour, elle disparut sans laisser de traces. L'enquête ne fut cependant pas très poussée, et pour cause : elle n'était ni déserteuse, ni morte, elle avait rejoint Yôhei, un groupe de mercenaires servant les intérêts de l'Armée sans y être réellement attaché. Elle y officia durant près d'un siècle avant d'en prendre la tête. Si le commandant précédent n'avait pas fait de vagues, avec elle la politique du groupe changea, leur assurant, à elle et ses hommes, une réputation de guerriers redoutables qui ne reculaient devant rien. Elle était devenue l'exact opposé des attentes de sa famille, bien qu'elle ne le fît plus par esprit de contradiction : c'était ce pour quoi elle avait toujours été faite, mener des soldats au combat, même s'il s'agissait des sales boulots que le Gôtei leur refilait.
Cent-cinquante ans après sa "promotion", leurs "employeurs" connurent un revers de fortune : plusieurs de leurs capitaines disparurent dans d'étranges circonstances, ce qui entraîna un tel climat de suspicion que le Yôhei fut mis de côté. Leur réputation n'avait jamais été aussi déplorables, et le Gôtei préféra s'occuper lui-même de ses affaires. Les mercenaires perdirent en quelque sorte leur gagne-pain : aucun d'entre eux n'était plus considéré comme un shinigami, s'il l'avait jamais été, et leur talent pour la guerre ne leur était d'aucune utilité, perdus qu'ils l'étaient au fin fond du Rukongaï. Kaori en conçut une profonde rancune, et se jura de laver cet affront tôt ou tard. Elle décida donc de ne rien tenter contre les Armées de la Cour — c'eut été stupide! — et d'attendre son heure.

La trahison d'Aizen lui apporta l'occasion qu'elle attendait. Leurs anciens alliés affaiblis, il allait leur être plus facile de se rapprocher d'eux... afin de les prendre à revers, et de leur infliger une humiliation méritée.
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